– Puisque je vois que vous allez dans le monde maintenant, faites-moi donc le plaisir de venir me voir. Mais c’est assez compliqué, ajouta-t-il d’un air d’inattention et de calcul, et comme s
Robert m’entra na brusquement vers sa mère.– Adieu, lui dit-il ; je suis forcé de partir. Je ne sais pas quand je reviendrai en permission, sans doute pas avant un mois. Je vous l’écrirai dè
Et nous allames jusque-là :– Robert ! Robert ! cria-t-elle. Non, il est parti, il est trop tard.Maintenant je me serais aussi volontiers chargé d’une mission pour faire rompre Robert et sa ma tr
– Je ne me reproche qu’une chose, me dit tout bas Mme de Marsantes, c’est de lui avoir dit qu’il n’était pas gentil. Lui, ce fils adorable, unique, comme il n’y en a pas d’autres, pour
– Vous vouliez me parler de quelque chose, Monsieur ?– Ah ! voilà, en effet, j’avais certaines choses à vous dire, mais je ne sais trop si je vous les dirai. Certes je crois qu’elles pourrai
M. de Charlus s’interrompit pour me poser des questions sur Bloch dont on avait parlé sans qu’il e t l’air d’entendre, chez Mme de Villeparisis. Et de cet accent dont il savait si bien détac
– Revenons à vous, me dit M. de Charlus, et à mes projets sur vous. Il existe entre certains hommes, Monsieur, une franc-ma onnerie dont je ne puis vous parler, mais qui compte dans ses rangs en c
– Je regrette cette rencontre, me dit M. de Charlus. Cet Argencourt, bien né mais mal élevé, diplomate plus que médiocre, mari détestable et coureur, fourbe comme dans les pièces, est un de ce
024: petite matinée où je rencontrerais AlbertineQuand quelques jours après le départ de Saint-Loup, j’eus réussi à ce qu’Elstir donnat une petite matinée où je rencontrerais Albertine, le
Quand j’arrivai chez Elstir, un peu plus tard, je crus d’abord que Mlle Simonet n’était pas dans l’atelier. Il y avait bien une jeune fille assise, en robe de soie, nu-tête, mais de laquelle