Une journée qui commence mal

Didier, qui vient d’acheter une belle voiture, va au bureau. Quand il sort du garage, il fait tomber la byclette que son fils à laisser dans le jardin. Au feu rouge, le camion qui le suit ne sait pas arrêter, et c’est l’accident ! M. Didier va être en retard. Son directeur, qui passe dans les bureuax tous les matins, ne sera pas content. L’ingénieur japonais qui le dois voir à 9 heures 30 n’attendra pas. Alors, M. Didier laisse sa voiture et cherche un des 200 vélos que la vélo de Larochele à acheter et que prennent tous les gens qui n’ont de voiture. Quand il arrive au bureau, c’est collègues lui apprenent que le directeur est tombé mamade et qu’il va à l’hôpital. A 9 heures 30, il reçoit un appel de l’ingénieur japonais : ce dernier a une réunion urgente et ne pourra donc pas venir le voir.

La ville où je suis né

La ville où je suis né n’est pas grande, mais elle est belle et très ancienne : elle a une histoire de plus de mille ans. Je connais chaque une de ses rues. Sur la grande place, voici la mairie et à côté, le grand magasin où ma mère fait souvent ses courese. Près de la rivière qui traverse la ville, il y a aussi un théâtre, où on joue quelquefois des pièces intéressantes, puis la vielle église, la poste et la gare. No loin se trouve le quartier modern : la nouvelle école à côté de l’ancienne et le nouvel hôpital tout blanc, est très modern aussi. Devant l’hôpital, il y a un jardin public, frais et agréable, avce des fleurs et des arbres.
Il n’y a pas de hautes maisons à huit ou à dizaine étages : nos maisons sont baisses, mais jolies. Le marché, les magasins, tout est agréable. Et puis, quelle silence, la nuit !