法语阅读经典素材整理73
Aramis jeta un cri de joie à la vue du cachet, baisa l’écriture, et avec un respect presque religieux, il ouvrit l’ép tre qui contenait ce qui suit :
" Ami, le sort veut que nous soyons séparés quelque temps encore ; mais les beaux jours de la jeunesse ne sont pas perdus sans retour. Faites votre devoir au camp ; je fais le mien autre part. Prenez ce que le porteur vous remettra ; faites la campagne en beau et bon gentilhomme, et pensez à moi, qui baise tendrement vos yeux noirs.
" Adieu, ou plut t au revoir ! "
Le mendiant décousait toujours ; il tira une à une de ses sales habits cent cinquante doubles pistoles d’Espagne, qu’il aligna sur la table ; puis, il ouvrit la porte, salua et partit avant que le jeune homme, stupéfait, e t osé lui adresser une parole.
Aramis alors relut la lettre, et s’aper ut que cette lettre avait un post- scriptum .