IX.Souvent, lorsque Charles était sorti, elle allait prendre dans l’armoire, entre les plis du linge où elle l’avait laissé, le porte-cigares en soie verte.Elle le regardait, l’ouvrait, et m
IX.Souvent, lorsque Charles était sorti, elle allait prendre dans l’armoire, entre les plis du linge où elle l’avait laissé, le porte-cigares en soie verte.Elle le regardait, l’ouvrait, et
VII.Elle songeait quelquefois que c’étaient là pourtant les plus beaux jours de sa vie, la lune de miel, comme on disait. Pour en go ter la douceur, il e t fallu, sansdoute, s’en aller vers c
DEUXIEME PARTIEII.Emma descendit la première, puis Félicité, M. Lheureux, une nourrice, et l’on fut obligé de réveiller Charles dans son coin, où il s’était endormi complètement, dès que
DEUXIEME PARTIEIII.Le lendemain, à son réveil, elle aper ut le clerc sur la place. Elle était en peignoir. Il leva la tête et la salua. Elle fit une inclination rapide et referma la fenêtre.L
DEUXIEME PARTIEIV.Ds les premiers froids, Emma quitta sa chambre pour habiter la salle, longue pice plafond bas o il y avait, sur la chemine, un polypier touffu s’talant contre la glace. Assise dans
DEUXIEME PARTIEV.Ce fut un dimanche de février, une après-midi qu’il neigeait.Ils étaient tous, M. et madame Bovary, Homais et M. Léon, partis voir, à une demi-lieue d’Yonville, dans la va
DEUXIEME PARTIEVI.Un soir que la fenêtre était ouverte, et que, assise au bord, elle venait de regarder Lestiboudois, le bedeau, qui taillait le buis, elle entendit tout à coup sonner l’Angelus .
DEUXIEME PARTIEVII.Le lendemain fut, pour Emma, une journée funèbre. Tout lui parut enveloppé par une atmosphère noire qui flottait confusément sur l’extérieur des choses, et le chagrin s’en
DEUXIEME PARTIEVIII.Ils arrivèrent, en effet, ces fameux Comices ! Dès le matin de la solennité, tous les habitants, sur leurs portes, s’entretenaient des préparatifs ; on avait enguirlandé